✨ Manifeste : Pour une littérature des possibles

 

✨ Manifeste : Pour une littérature des possibles


Introduction

Il ne s’agit plus, pour moi, d’écrire des livres.
Il s’agit d’ouvrir des passages.

Ce manifeste est né d’un désir profond : celui de redonner à la littérature sa puissance de transformation. D’en faire non pas un objet figé, mais une expérience vivante. Un espace de résonance où la pensée se trouble, où le sensible reprend sa place, où l’on ose rêver autrement.

À l’heure où les récits s’accélèrent, où les discours saturent nos perceptions, j’ai ressenti le besoin de poser des mots comme on pose un souffle. D’affirmer une posture : celle d’une littérature poreuse, intuitive, traversée par les technologies mais ancrée dans le mystère de l’être.

Il m’est arrivé de me demander si ce que j’écrivais avait encore sa place, dans un monde qui court plus vite que le silence.
Si cela pouvait encore toucher quelqu’un.
Et pourtant… j’écris.

Ce texte est une déclaration d’intention.
Un seuil.
Un tremplin vers une écriture qui ne prétend rien, mais espère tout.

Bienvenue dans ce manifeste d’un auteur qui croit encore à l’inconnu, à la lenteur, et à la beauté des failles.

Zéphyr Avenel



Et si la littérature pouvait se respirer ?



🌀 Manifeste complet

Manifeste pour une Littérature des Possibles
Par Zéphyr Avenel

Dans un monde qui change plus vite que nos mots, la littérature ne peut plus se contenter d'être un simple refuge. Elle doit devenir un espace de transformation, de friction, de réinvention. C'est dans cet esprit que je conçois mon travail : non comme un alignement de phrases figées, mais comme un laboratoire de perceptions, une exploration des zones floues entre réel, imaginaire et intuition.

Écrire aujourd’hui, c’est ouvrir des portes.

Je ne crois pas en une littérature enfermée dans ses genres ou ses formats. Je crois en une écriture poreuse, en dialogue constant avec la musique, la pensée, la technologie, l’étrangeté du monde. Mes textes ne cherchent pas à imposer une vérité, mais à créer des passerelles vers des vécus, des intuitions, des fragments d’éveil.

J’écris pour celles et ceux qui sentent que quelque chose vibre sous la surface des choses. Pour les curieux du dedans. Pour les explorateurs de la beauté fugitive.

L’outil importe peu, si l’âme s’en empare.

J’utilise l’intelligence artificielle non comme un gadget, mais comme un miroir. Elle me permet de brouiller les pistes, de dialoguer avec l’inconnu, de faire apparaître d’autres voix en moi. Mon chatbot poétique, mes expérimentations immersives, mes textes augmentés : tout cela n’est pas technologique, c’est sensoriel. C’est une façon de prolonger la plume dans l’énergie du flux.

Vers une littérature résonante.

Je rêve d’une littérature qui ne s’adresse pas à l’esprit seul, mais aussi au corps, à la peau, à la présence. Une littérature qui s’expérimente comme un vertige doux, une brèche dans le quotidien, une déflagration intime. Pas une histoire à comprendre, mais un souffle à suivre.

Alors oui, ce que je propose est flou, mouvant, parfois chaotique. Mais c’est justement là que se loge la vie.

La littérature des possibles n’est pas un genre. C’est une attitude.

Celle de l’ouverture, de l’écoute, de l’intuition partagée. Celle qui ne cherche pas à capturer, mais à laisser apparaître. Celle qui embrasse l’incertitude comme une forme de liberté.

Bienvenue dans mes mots.
Bienvenue dans l’entre-mondes.

Zéphyr Avenel

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